Les écologistes porteurs de visions municipales innovantes et raisonnées

Emploi, environnement, petite enfance, culture, éducation, solidarité… autant de compétences qui sont celles de nos collectivités locales et qui impactent notre vie quotidienne. C’est en cela que les élections municipales demeurent le scrutin le plus prisé des Français avec l’élection présidentielle. En tant qu’écologistes, c’est aussi là que nous sommes aujourd’hui les plus identifiés et les plus appréciés. Ceux qui nous ont accordés leur confiance ont pu constater que nous apportions des solutions nouvelles et porteuses d’avenir.

Quelques exemples de réussites. Les politiques de réduction des consommations (papier, eau,  éclairage, chauffage…) sont aujourd’hui très largement développées au travers des méconnus  « agendas 21 » bien souvent mis en œuvre par des écologistes. Les plans énergie-climat nous font prendre conscience de nos émissions de gaz à effet de serre et nous amènent à développer tout un ensemble d’alternatives de plus en plus reconnues comme positives : réduction des gaspillages, isolation thermique des habitations, transports en communs, modes actifs, énergies renouvelables… Cette politique est porteuse de nombreux emplois locaux non-délocalisables. C’est le premier enjeu de ces prochaines années. Effacer le déficit commercial que nous avons en matière énergétique (env. 50 milliards d’€) et le transformer en gisement de développement local. Nous avons déjà prouvé que nous étions moteur localement. C’est notamment le cas avec l’essor du réseau de chaleur Biowatts à Angers.

Autre problématique de plus en plus partagée, l’étalement urbain doit être désormais non seulement contenu mais stoppé. Le cas choletais est malheureusement le plus inquiétant avec encore récemment la construction de zones commerciales immenses qui non seulement sont mal utilisées mais qui en plus affaiblissent considérablement le centre-ville. Que ce soit à Gennes, à la Boissière-sur-Evre ou à Saumur, nos éluEs sont persuadéEs que les centres des bourgs, des quartiers et des villes doivent redevenir le cœur de l’activité sociale et marchande. Quant aux zones d’activités, elles doivent d’abord pouvoir se régénérer sur elles-mêmes.

Dans une période difficile, où le cynisme dominant désespère beaucoup de citoyenNEs en les détournant de l’action politique, nous devons redire toute l’importance et le poids de l’implication de chacun dans la vie locale. Les éluEs écologistes, encartéEs ou pas, pourront toutEs vous dire qu’en participant à une majorité, ils ont fait bouger les lignes. Ce, en étant parfois seulEs dans leur équipe. Jour après jour, réunions après réunions. Ce travail de fourmi paie. Ils peuvent être fiers de cela !

Du local au global, nous aurons ensuite à défendre notre vision d’une Europe plus écolo, plus sociale, plus unie. Pas l’Europe libérale actuelle qui négocie en toute opacité un traité de libre échange transatlantique. Pas l’Europe éclatée des nationalismes égoïstes qui se nourrissent de la peur. Nous soutiendrons Yannick Jadot, Nicole Kils-Nielsen et leur colisitiers pour une Europe fédérale, une harmonisation fiscale, une Europe des énergies renouvelables, une Europe audacieuse et ouverte sur le monde !

Rendez-vous le 26 avril à Chalonnes pour notre fête de l’écologie qui sera bien évidemment celle de l’Europe que nous voulons !